Comprendre la succion du nourrisson, scientifiquement !

succion du nourrisson
succion du nourrisson

Le besoin de succion du nourrisson est la clé qui mène à l’alimentation et il nécessite de combiner les capacités de respiration, succion et déglutition. Il passe donc par plusieurs étapes :

  • Un temps buccal.
  • Un temps pharyngé.
  • Un temps oesophagien.

Le besoin de succion du nourrisson passe par plusieurs étapes

Le comportement de la séquence « succion-déglutition » constitue l’acte nutritionnel du nourrisson. Il s’agit d’un comportement réflexe dont le centre de commande est bulbaire et qui est présent dès la dixième semaine de vie in utero.

  • Le temps buccal : la succion du nourrisson est caractérisée par la création d’un vide intrabuccal permettant d’aspirer le lait. La création de ce vide est assurée par plusieurs mécanismes: – l’étanchéité au niveau des lèvres est assurée par la forte contraction de l’orbiculaire des lèvres et des muscles de la houppe du menton, – l’isthme buccopharyngé est fermé grâce à la contraction du voile sur le dos de la langue, – la langue alterne des mouvements de protraction (muscle génioglosse) et des mouvements de rétropulsion (muscle hyoglosse). La langue se place à la face inférieure du mamelon ou de la tétine, comprime celui-ci, puis recule en se creusant en forme de gouttière; le vide intrabuccal créé par la rétropulsion linguale est encore accentué par l’abaissement de la mandibule (mise en jeu des muscles sus et sous-hyoïdiens). Le liquide accumulé par plusieurs mouvements de succion remplit un « réservoir » postérieur formé par le voile apposé sur la langue ou sur l’épiglotte. La possibilité de têter et de respirer en même temps est une notion partiellement vraie: pendant les mouvements de succion, de même que l’adulte pendant la phase préparatoire buccale, le nourrisson peut continuer à respirer, si sa respiration nasale est bonne. En cas d’inspiration buccale, cette phase « succion-déglutition » lui pose problème. Consultez la fiche compréhension sur « le ronflement ». Vous trouverez l’explication essentielle de l’inspiration nasale.

 

  • Le temps pharyngé: il succède en moyenne à deux ou trois mouvements de succion. Il est déclenché par la stimulation des zones réflexes par le bol lacté. Le temps pharyngé comporte, comme chez l’adulte, l’occlusion vélopharyngée, l’occlusion laryngée et le péristaltisme pharyngé. Il diffère en quelques points: la déglutition se déroule avec les arcades séparées (interposition linguale). L’os hyoïde et le larynx sont déjà relativement hauts chez le nourrisson et leur position n’a pas besoin d’être stabilisée par la contraction des muscles masticateurs. Le mouvement vertical de l’os hyoïde est moins important que chez l’adulte. D’autre part, le muscle orbiculaire des lèvres reste fortement contracté pendant le temps pharyngé chez le nourrisson. Enfin, l’onde péristaltique pharyngée est plus marquée.

 

  • Le temps œsophagien : iI ne semble pas fondamentalement différent de l’adulte. Le rythme des déglutitions pharyngées est bien supérieur à celui de l’adulte. Elles ne déclenchent pas à tout coup une contraction œsophagienne,. Après une série de déglutitions pharyngées, la contraction déclenche une onde péristaltique qui vide l’œsophage de son contenu.

 

  • Évolution du comportement de succion-déglutition vers la déglutition de l’adulte Cette évolution débute vers l’âge de 6 mois et se poursuit jusqu’à 36 mois. La maturation du système nerveux central permet de développer le contrôle volontaire de la phase buccale. Parallèlement, des modifications anatomiques se produisent: l’éruption des dents, l’agrandissement de la taille de la cavité buccale et du pharynx permettent de diversifier les aliments. La déglutition se « postériorise » avec une absence de contraction des muscles péribuccaux et la participation plus importante des muscles rétracteurs et élévateurs de la langue (muscles styloglosses et palatoglosses) dans la propulsion du bol alimentaire de la cavité buccale vers le pharynx. La contraction des muscles masticateurs permet l’apparition d’une déglutition avec les arcades dentaires au contact l’une de l’autre. Cependant, les incisives supérieures et inférieures ne sont en contact que chez 65 % des adultes. La persistance d’une position basse de la langue au repos et d’une déglutition infantile chez le grand enfant et l’adulte est un facteur favorisant des dysmorphoses maxillofaciales.

 

Il faut penser à consulter un médecin en cas de suspicion d’une atteinte du temps pharyngé de la déglutition: douleur ou pleurs à la déglutition.


1- L’innervation de la langue est particulière lors de la succion du nourrisson :

Elle est à la fois sensitive, sensorielle, gustative et motrice. C’est l’innervation motrice de celle-ci qui nous intéresse particulièrement, même si les autres innervations nous apparaissent essentielles pour le bébé. Nous évoquerons donc l’innervation motrice par ces 5 éléments :

1.1 Le nerf trijumeau (V) :

Le nerf trijumeau (5e paire de nerfs crâniens) est un nerf extrêmement important pour

toute la cavité buccale. Il se termine par trois branches : le V1 ou nerf ophtalmique, le V2 ou nerf maxillaire et le V3 ou nerf mandibulaire. Véhiculant la sensibilité extéroceptive des sinus, des dents, des téguments de la face, de la cavité orale et donc de la langue, il pénètre dans le crâne par la fissure orbitaire supérieure pour le nerf ophtalmique, par le foramen rond pour le nerf maxillaire et par le foramen ovale pour le nerf mandibulaire.

Les branches terminales ont donc des parcours différents :

  • Le V1 traverse le sphénoïde (fente sphénoïdale).
  • Le V2 traverse le sphénoïde (foramen grand rond)
  • Le V3 traverse le sphénoïde (foramen ovale).

Le nerf trijumeau agit sur la lèvre inférieure, le menton, et le plancher buccal.( On peut chatouiller la lèvre inférieure pour faire ouvrir la bouche et sortir la langue en lien avec nerf grand hypoglosse). Il permet de soulever le voile palatin pour créer la dépression intrabuccale.

Le nourrisson a besoin d’une stimulation au niveau du palais dur, qui peut être entravé par un souci sur la branche maxillaire.

1.2 Le nerf facial (VII) :

En sortant du foramen stylo-mastoïdien, il descend en avant pour venir se terminer au niveau de la parotide en deux branches, cervico-faciale et temporo-faciale, partageant ainsi la parotide en deux parties, superficielle et profonde. Le nerf facial comprend de nombreuses branches collatérales qui sont, soit intra- pétreuses, notamment le rameau auriculaire ou la corde du tympan, soit extra- pétreuses, tel que le rameau stylo-hyoïdien ou digastrique. Ses branches terminales sont donc la branche temporo-faciale et la branche cervico- faciale. Le nerf facial présente donc de nombreuses fonctions au niveau de la face . Sa fonction motrice est la suivante :

  • le contrôle de la mimique en innervant tous les muscles peauciers de la face.
  • au niveau lingual, il permet la contraction des muscles palato-glosse et stylo-glosse par son rameau lingual (ou anse de Haller), correspondant à l’anatomose entre le VII et le IX.

1.3 Le nerf glossopharyngien (IX) :

Lors de son trajet, il va passer dans la fosse crânienne postérieure, dans le foramen jugulaire, en compagnie du nerf vague (X).

Il contribue au mouvement du pharynx et du voile du palais, dirige la déglutition et contrôle

la fonction respiratoire lors de la coordination succion/déglutition/respiration avec le nerf trijumeau.

Il assure le réflexe nauséeux et permet donc le renvoi et la toux en cas de fausse route.

1.4 Le nerf vague (X) :

Lors de son trajet, il va passer dans la fosse crânienne postérieure, dans le foramen jugulaire, dans l’espace latéro-pharyngien, dans le thorax pour enfin se terminer au niveau du plexus cœliaque dans l’abdomen pour le nerf vague droit, et en rameaux gastriques et hépatiques pour le nerf vague gauche.

Le nerf laryngé supérieur correspond à l’une de ses nombreuses branches collatérales. Naissant du ganglion inférieur, il se divise en deux rameaux, interne et externe.

Le rameau interne du nerf laryngé supérieur contribue à l’innervation de la muqueuse du larynx, de l’épiglotte, des cordes vocales, mais aussi du dos de la langue. En effet, ce dernier participe à l’innervation sensitive de la partie la plus basse de la langue, c’est-à-dire les plis glosso-épiglottiques et les vallécules épiglottiques. Il possède également une fonction neurovégétative, mais aussi motrice, qui est très importante dans le temps pharyngien de la déglutition grâce à l’innervation des muscles constricteurs du pharynx.

1.5 Le nerf hypoglosse (XII) :

Exclusivement moteur, le nerf hypoglosse, 12e paire de nerfs crâniens, innerve tous les muscles de la langue à l’exception des muscles palato-glosses et stylo-glosses.

Durant son trajet, le nerf hypoglosse chemine tout d’abord dans la fosse crânienne postérieure, où les racines traversent la dure-mère avant de fusionner en un seul et unique tronc. Ensuite, accompagné de son rameau méningé et d’un rameau méningé de l’artère pharyngienne ascendante, le nerf hypoglosse traverse le canal homonyme. Après être passé dans l’espace latéro-pharyngien où il traverse la région rétro-stylienne puis le trigone carotidien, le nerf hypoglosse arrive dans le trigone submandibulaire. A cet endroit, il est situé sur la face latérale du muscle hyo-glosse qui le sépare de l’artère linguale puis il chemine entre les muscles mylo-hyoïdien et hyo-glosse avant de se terminer.

Il possède plusieurs branches collatérales, comme le rameau méningé ou la racine supérieure de l’anse cervicale. La racine supérieure est issue de la gaine du nerf hypoglosse par la réémergence du rameau communiquant hypoglosse du premier nerf cervical sous le muscle digastrique.

Il est donc essentiel de libérer les points de passage ou de compression au niveau de la partie postérieur du crâne  (foramen stylo-mastoïdien, foramen jugulaire, canal du nerf hypoglosse), ainsi que la première cervicale : Exercice n°1


2- La succion physiologique s’effectue en événements :

L’aspiration, la déglutition, et la respiration, qui va mobiliser pas moins de 31 muscles, 6 des 12 paires de nerfs crâniens et 3 nerfs cervicaux.

L’isthme buccopharyngé est fermé grâce à la contraction du voile sur le dos de la langue. La langue alterne des mouvements de protraction (muscle génioglosse) et des mouvements de rétropulsion (muscle hyoglosse). La langue se place à la face inférieure du mamelon ou de la tétine, comprime celui-ci, puis recule en se creusant en forme de gouttière créant une ventouse pour aspirer et éjecter le lait. La langue va se placer en bas sur sa partie antérieure et va se plaquer contre le palais sur sa partie postérieure, le mamelon va alors être plaqué contre la palais. Le vide intrabuccal créé par la rétropulsion linguale est encore accentué par l’abaissement de la mandibule (mise en jeu des muscles sus et sous-hyoïdiens). : Exercice n°2 et 3

Succion du nourrisson

Comprendre la succion du nourrisson


3- Les muscles buccaux sont essentiels :

Lorsque le mamelon va être plaqué contre la palais, au moment de la succion du nourrisson, sa bouche doit alors être ouverte au maximum, pour former une ventouse hermétique. Le lait ne doit pas pouvoir passer à travers. Elle doit être hermétique pour que l’aspiration soit la plus efficace possible. La force de ces muscles qui assurent cette fonction est dont primordial :

Pour un bébé nourrit au biberon, le flux du lait est plus rapide qu’au sein. Cela l’oblige à positionner sa langue différemment pour diminuer ce flux. La langue exerce un mouvement de piston, qui ne nécessitent pas une fermeture labiale hermétique. De l’air peut passer dans la bouche favorisant les coliques). Mais le travail musculaire, même s’il est moins important pour les lèvres et la langue est essentiel pour répondre à ce besoin d’aspiration-déglutition.

Le muscle buccinateur participe à la stabilisation du sein (ou du biberon) dans la bouche de l’enfant. Ce dernier presse les joues pour créer un bourrelet de succion. Ce muscle permet de tirer en arrière les commissures, et allonge l’orifice buccal. Les muscles orbiculaires des lèvres ferment les lèvres, permettent l’occlusion et l’étanchéité labiale : Exercice n°4


4- La respiration nasale est fondamentale :

L’enfant doit pouvoir, à la fois, téter et respirer. A défaut, s’il respire par la bouche, il sera obligé d’alterner l’aspiration du lait et sa déglutition (pour l’avaler vers l’estomac), et sa respiration par la bouche, de manière saccadé et alternatif. Cela est exigeant et fatiguant pour l’enfant. L’inspiration, lorsqu’elle n’est pas nasale, entraine d’autres complications (endormissement et sommeil notamment). L’air inspiré doit passer facilement à travers le nez.L’os nasal a une articulation avec l’os frontal en haut, une autre avec l’os ethmoïde en arrière et enfin une avec l’os maxillaire sur les côtés. Il faut travailler à la fois sa mobilité, et également favoriser le passage de l’air à l’inspiration en aidant le muscle releveur naso-labial : Exercice n°5

Il faut savoir également que le transfert du lait de la bouche vers le pharynx doit se faire pendant une période d’inhibition transitoire de la respiration. En fermant les voies aériennes supérieures, de façon réflexe, on permet l’avancée du lait de la bouche vers l’estomac, sans qu’il n’y ait de fausse route, un passage du lait vers les poumons.

succion du nourrisson

Succion du nourrisson


La succion a d’autres fonctions tout aussi importantes :

Elle permet à l’enfant :

  • De détendre sa dure mère par l’intermédiaire de ses relations avec la faux du cerveau ( s’insère sur l’apophyse de la crista Galli de l’os ethmoïde), et donc de calmer l’enfant. L’enfant calme ses tensions en détendant son système nerveux central, par l’intermédiaire de la dure-mère. Ça permet d’expliquer les succions parfois compulsives, qui soulagent une tension et qui permettent ainsi la détente de l’enfant, voir son endormissement.
  • La succion du bébé au sein permet aussi un bon développement des maxillaires et des muscles de la face. Les bébés naissent souvent avec un menton en arrière (rétrognathie). La pression exercée par la langue durant toute la déglutition sur les arcades dentaires a une influence majeure sur le développement du maxillaire et de la mandibule. L’harmonie des arcades dentaires est créée par les forces opposées exercées par les lèvres et la langue. Durant les premières années de la vie, l’individu a une déglutition infantile. Du fait de l’absence de dents, la stabilisation mandibulaire se fait par la contraction des muscles faciaux. C’est grâce au changement de consistance de la nourriture, ainsi que l’apparition des dents, que le mécanisme change progressivement pour arriver à une déglutition dite « mature ». La succion du nourrisson permet donc une propulsion de celui-ci avec un alignement des deux mâchoires. De même, il permet par le travail de la langue de sculpter le palais et de travailler indirectement sur le développement des sinus.
  • De soulager les reflux. En effet, la langue a un rôle majeur dans le contrôle de la région pharyngienne. Sa mobilité complète est donc nécessaire. En témoigne les études réalisées sur les freins de langue, et l’impact sur les reflux.

 


Ne culpabiliser surtout pas en proposant une tétine à votre enfant. La succion du nourrisson est un acte important et même nécessaire. Choisissez bien le modèle de votre tétine, plus elle sera proche de la tétée physiologique et plus le réapprentissage de la succion sera efficace.

N’oubliez pas qu’il est beaucoup plus facile d’enlever une tétine à 2/3 ans, qu’un doigt. En effet, un enfant qui va téter son doigt, va le faire plus souvent, plus longtemps et les conséquences sur le développement des dents sont souvent plus néfastes. Il faudra penser progressivement à déshabituer doucement et progressivement l’enfant de sa tétine, en surveillant sa croissance dentaire, afin de contribuer à la fonction élémentaire suivante: la mastication. Une visite, à ce sujet chez un dentiste pédiatrique est conseillée.

En effet, à l’apparition de la denture temporaire, la mastication apparait, la dynamique de la langue s’inverse alors, l’orbiculaire perd son rôle de puissant joint. Dès l’apparition de la 1re molaire permanente vers 6 ans, on observe un contact dentaire pendant la déglutition. Enfin, la denture permanente permet la mise en fonction des incisives et des canines, ainsi que la descente de l’os hyoïde. La déglutition devient alors mature :

  • les lèvres sont jointes, mais non contractées,
  • les arcades sont serrées, les molaires en occlusion,
  • la pointe de la langue s’appuie sur la muqueuse palatine antérieure,
  • la langue est contenue par les arcades.

 


Pour connaître les liens entre les exercices que j’indique et la mobilité que l’on doit améliorer pour permettre une bonne succion du nourrisson :

https://baby-sante-formations.fr/professionnel-de-sante/

Il s’agit d’une formation que je fais sur les 12 principales problématiques de la petite enfance, dont la succion du nourrisson qui en fait partie.

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BIBLIOGRAPHIE :

• L’allaitement, comprendre et réussir, Jack Newman et Teresa Pitman, Jack Newman Communications, 2006

La science de la succion chez le nourrisson, V. Marchand Succion et comportement de succion VELB 1998 Medela,(Jacques).

• Les sens cachés de l’oralité du fœtus et de l’enfant. G. Gouly, V. Abadie, Médecine et science, 2000)

Atlas d’anatomie – Prométhée – tête et neuro-anatomie, Schünke, Schulte, Schumacher, Voll, Wesker) Edition Maloine

• Cahier d’anatomie – Abdomen, Perlumutier (L.) et Waligora (J.)

• Atlas d’anatomie humaine, Netter (F.H.)

• Physiologie humaine, – Sherwood- 2e édition – De Boeck. Sully.

 

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