VOUS SAVEZ QU’IL FAUT DONNER PLUS À SES PATIENTS.
Parfois, vous sentez bien que vos soins ne vont pas suffire, qu’il faudrait les accompagner plus.
Non seulement vous aimez aider ces parents, mais vous avez toujours aimé les impliquer dans le soin de leur enfant.
Vous êtes particulièrement impliqué dans votre métier d’ostéopathe, et vous aimeriez gagner toujours en compétence.
VOUS AVEZ BESOIN D’ÉLÉMENTS PRATIQUES, PAS THÉORIQUES.
Vous êtes inscrit dans des groupes d’ostéopathie pédiatrique sur Facebook, Instagram. Votre but est évidemment d’améliorer votre pratique, pour aider encore plus les enfants que vous soignez.
Vous aimeriez avoir plus de connaissances sur la plagiocéphalie, pour expliquer facilement, simplement et avec certitude cette problématique aux parents qui vous questionnent.
VOUS AVEZ LU OU ENTENDU TROP D’AVIS DIVERGENTS.
Peut-être aimeriez-vous être un expert en anatomie, en physiologie, pour aller au bout de ces investigations, mais vous savez que cela demanderait beaucoup de temps, trop peut-être. Vous pourriez imaginer être en relation avec quelqu’un qui en aurait les capacités.
- Pourquoi je n’arrive pas à impliquer systématiquement les parents dans mes soins
- Est-ce que les parents ne pourraient pas être le relai idéal à mes soins
- Pourquoi j’ai l’impression de ne pas avoir assez de temps pour mes conseils et mes exercices
- Pourquoi j’ai l’ impression que les conseils que je donne contre la plagiocéphalie sont parfois différents des autres praticiens
- Peut-on finalement trouver un protocole simple et efficace, pour impliquer les parents dans le soin
Vous lui demanderiez alors 5 choses :
- Pourquoi je n’arrive pas à impliquer systématiquement les parents dans mes soins
- Est-ce que les parents ne pourraient pas être le relai idéal à mes soins
- Pourquoi j’ai l’impression de ne pas avoir assez de temps pour mes conseils et mes exercices
- Pourquoi j’ai l’ impression que les conseils que je donne contre la plagiocéphalie sont parfois différents des autres praticiens
- Peut-on finalement trouver un protocole simple et efficace, pour impliquer les parents dans le soin
Pourquoi je n’arrive pas à impliquer systématiquement les parents dans mes soins
Les parents viennent vous voir pour que leur enfant aille mieux, mais ils sont souvent prêts à tout faire pour leur enfant. Ils vous écoutent les oreilles grandes ouvertes.
Vous avez l’impression que vous pouvez leur expliquer tout ce qu’il faut faire pour aider leur enfant, ils vous obéiront à la lettre.
Seulement, les parents se sentent en sécurité chez vous, prêt à reproduire ce que vous leur avez dit, les conseils, les exercices.
Ils vous ont vu pratiquer sur leur bébé. Ça vous parait tellement évident, facile à faire, de bouger doucement la tête, de masser comme ceci, comme cela…
Mais quand vous revoyez les parents, au cours d’une deuxième séance, vous avez l’impression qu’ils n’ont pas réellement tout fait, ou pas comme vous aviez expliqué.
« IL FAUT FAIRE COMME JE VOUS AI MONTRÉ, C’EST TOUT SIMPLE. »
LISEZ CETTE HISTOIRE :
Avez-vous déjà imaginé cette scène ? : Les parents rentrent d’une séance d’ostéopathie à la maison.
Ils se parlent entre eux :
Le papa :« Tu as vu, je t’avais dit qu’il ne fallait pas lui masser la tête.»
La maman :« Mais, il a justement dit de le faire comme ça.. »
Le papa : « Pas du tout, il a dit le contraire… »
Parfois, ce qui nous paraît simple, ne l’est pas toujours pour les autres.
RÉPÉTER LES MOUVEMENTS SIMPLES QUE JE FAIS.
Est-ce que les parents ne pourraient pas être le relai idéal à mes soins
Vous êtes écouté par les parents. Pour eux, vous possédez le savoir.
Il faut donc être juste dans nos propos, dans les exercices que l’on montre, et dans les conseils que l’on donne. On a tendance à se référer à notre vécu personnel, par nos retours patients, enfants.
Notre expérience est importante, mais elle ne devrait pas différer d’un praticien à un autre. Nous devrions avoir les mêmes conseils, exercices que le médecin, le pharmacien, le pédiatre ou la sage-femme.
NOUS NE SOMMES PAS DES HOMMES POLITIQUES. LES PROFESSIONNELS DE SANTÉ DEVRAIENT AVOIR MOI D’ÉGO , ON DONNE DES CONSEILS. NOUS DEVRIONS DONNER TOUS LES MÊMES, ET NE PAS CRITIQUER LES AUTRES SANS LES CONSULTER. LES PARENTS NE S’Y RETROUVENT PLUS, ILS SUBISSENT
Vérifier toutes les informations qui circulent sur un éventuel traitement de la plagiocéphalie, n’est pas chose aisée. Il faut faire un vrai travail de recherche, y consacrer beaucoup de temps. Or le temps est précieux. Dans le milieu de la santé, on sait pertinemment que nous consacrons beaucoup de temps à nos patients, et à faire des démarches administratives, en dehors des consultations.
Le soir, nous sommes comme tout le monde, on a aussi besoin de s’occuper de notre famille.
Imaginez que vous trouviez le résultat d’un travail de recherche sur la plagiocéphalie.
On pourrait imaginer qu’en proposant des exercices tout simples, mais protocolisés, à reproduire par les parents, chez eux, vous puissiez leur redonner un peu de votre savoir, un peu d’assurance, et beaucoup de confiance.
Ils se sentiront, non seulement écoutés, mais en plus vous leur proposerez un suivi unique entre vos séances.
VOUS ALLEZ PROPOSER AUX PARENTS UNE ARME MAGNIFIQUE :
Et vous en serez le superviseur.
Pourquoi j’ai l’impression de ne pas avoir assez de temps pour mes conseils et mes exercices
Malgré vos habitudes, expliquer et montrer des exercices à des parents, pour qu’ils les reproduisent à la maison, n’est pas chose aisée.
LES PARENTS SONT TOUS UNIQUES, COMME LEURS BÉBÉS.
L’explication qui paraît simple à l’un, ne l’est pas forcément pour l’autre, et le niveau de compréhension n’est pas toujours le même.
Il faudrait pouvoir donner des explications similaires, mais avec un niveau de compréhension adapté à chacun.
En fin de séance, nous aimerions avoir des supports et être formés pour gagner du temps dans nos explications. Il serait ainsi facile de transmettre aux parents, des exercices à réaliser, à la maison, des conseils adaptés et vérifiés, si vous aviez des supports, à vous et pour eux, consultable à tout moment.
Non seulement les parents comprendront mieux, mais ils pourront, grâce à ces supports, reproduire exactement ce que vous avez fait sur leur bébé.
ILS SERONT VOTRE 3ÈME MAIN.
Pourquoi j’ai l’ impression que les conseils que je donne contre la plagiocéphalie sont parfois différents des autres praticiens
Malheureusement, tout n’est pas scientifique dans les paroles des praticiens de santé. Ils ne sont pas, pour beaucoup, spécialisés dans les symptômes de la petite enfance (régurgitation, trouble du sommeil, coliques, tensions et pleurs…).
Pour eux, la plagiocéphalie n’est pas une pathologie médicale, si elle ne présente aucun signe de gravité. Ils sont nombreux à vous dire que « ça va passer… ».
En réalité, Vous savez bien que le problème ne va pas se régler avec le temps, si les parents ne font rien.
Elle s’améliorera, mais ne sera jamais pleinement efficace.
Alors, c’est maintenant qu’il faut changer cela, et vous avez les moyens de l’améliorer, ET D’AIDER LES PARENTS à poursuivre votre travail.
Revenons au raisonnement médical, il est fait ainsi :
- Établir un diagnostic selon des signes cliniques (les douleurs, les plaintes, la localisation, le moment où cela survient).
Le diagnostic est une chose fondamentale en médecine. Le médecin va donc chercher à savoir, en premier lieu, si l’enfant n’a pas une maladie. C’est son rôle.
- Donner un traitement en réponse au diagnostic.
Seulement,la plagiocéphalie n’est pas une maladie. il faut juste être sûr que cette problématique et non pas une maladie. Seul le médecin pourra le dire.
OK, CHACUN SON MÉTIER, DANS LE DIAGNOSTIC.
MAIS LES EXPLICATIONS ET LES CONSEILS DEVRAIENT ÊTRE LES MÊMES POUR TOUS LES PROFESSIONNELLES DE SANTÉ
ARRÊTONS DE NOUS CONTREDIRE….
Peut-on finalement trouver un protocole simple et efficace, pour impliquer les parents dans le soin
Vous rêviez d’impliquer facilement les parents dans vos soins, d’être un ostéopathe plus présent encore, à leurs yeux.
Vous voulez obtenir des ressources pratiques, faciles à transmettre aux parents.
Vous aimeriez que ces parents soient vos mains, chez eux, à la maison :
Vous n’avez pas envie d’imposer des séances à répétitions aux parents.
Vous savez que les parents ont parfois un budget limité pour vos séances, et vous êtes impuissant face à cette double problématique :
- le soin non remboursé
- L’intérêt à poursuivre vos soins sur l’enfant.
